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régulation et contrôle - Page 6

  • Que faire du système ?

    La notion de « systémique », c’est à dire la méthode de régulation et de contrôle des systèmes à bût, permet de comprendre ou plus exactement d’appréhender, au moins dans les grandes lignes, comment peuvent se « construire » des individus adaptables également capables d’adapter leur environnement au mieux de leur besoin et de leur intérêt.

    Des individus munis d’intelligence et d’initiative  « construites » dans ce sens et dans cette « finalité » ; capables en interférant entre eux de performances exceptionnelles

    Dans cet objectif, les ordinateurs  et les « réseaux sociaux »  deviennent des instruments de « démocratie directe ».

    Il est possible de former de véritables coalitions transfrontalières pour toute une variété de sujets et de se rassembler en « collectif de combat » dépassant les frontières sur des sujets brûlants comme l’immigration, la démographie, la mémoire collective, l’identité européenne, la financiarisation de l’économie.

    Dans la conjonction actuelle des méfiances envers les institutions, il s’agit de faire émerger, sur ces sujets en particulier,  une plus grande conscience politique chez les citoyens Français et bien évidemment Européens afin qu’ils distinguent sans ambigüité et sans hésitation les leaders nationaux, européens et mondialistes capables de conduire une politique en tenant compte des citoyens, de leurs attentes, de leurs besoins et servant leurs intérêts.

    La reconquête de NOTRE souveraineté nationale devrait être notre premier objectif car elle est devenue une notion plus que relative pour des Etats européens manquant de cohérence.
    Ce qui ne nous permet pas de répondre aux défis qui nous sont adressés.

    L’échéance électorale de la présidentielle  du 23 avril 2017 marquera un tournant dans l’histoire de la France et du monde.

    Ne nous laissons pas détourner de nos objectifs et sachons choisir celui ou celle qui nous propose le projet de société et le programme les plus en conformité avec nos attentes.     

    Francis Claude NERI
    12 09 16

  • Migrants

    Il est certain qu’ils ne se gêneront pas pour faire des amalgames d'ordures et transformer nos pays européens en poubelles géantes.

    Nous pouvons avancer, sans risque de nous faire traiter de racistes, que cette pratique porcine est chez eux élevée au stade institutionnel. Á quoi bon refuser de manger du cochon pour en définitive se conduire pire que des porcs !...

    Cela ne sera jamais qu'une facette de plus à ajouter à la longue liste de leurs coutumes barbares, préhistoriques et répugnantes, toutes franchement  inassimilables pour nous.

    Ce ne sera pas non-plus, une brochette de "suidés" enturbannés et parfumés, qui remontera le niveau de ces nullités. Vautrés dans les palais dorés du golfe Persique,  traînant devant eux des panses rebondies en attendant, entre deux siestes, que nos commandes de pétrole arrivent pour s’enrichir comme des gorets. Pétrole qui sans nous  serait encore enfoui sous le sable des déserts.

    Sans honte et avec arrogance, ils  se prélassent au soleil comme de gros lézards visqueux, Incapables  aussi de concevoir et de produire cette technologie de pointe qu'ils adorent exhiber dans le luxe  tapageur des villes somptueuses de modernité.

    Villes que nous leur  concevons et construisons, car pour beaucoup d'entre eux, l’art architectural de la cité se bornerait à une tente de Bédouin en peau de dromadaire, avec une poignée de chèvres attachées à l'entrée, à proximité d'un pot de lait caillé.

    Quand on pense que c'est cette civilisation que nos gouvernants souhaitent implanter à notre place...Ça fait froid dans le dos !...

    Claude Allard
    A Béziers !
    01 05 16

     

  • Etat des lieux

    La population (en France) vit relativement bien, et suffisamment pour que tout le tiers monde soit tenté de venir la rejoindre. Je ne vois d'écrasement que pour les chômeurs et SDF.

    La question est de savoir si nous avons vocation à entretenir des immigrés chômeurs, et même de savoir ce qui resterait du chômage si nous ne gardions pas en France les personnes qui affirment de façon tapageuse ne pas se reconnaître dans ses valeurs fondamentales.

    Au fond, nous ne sommes peut-être face qu'à un problème de casting : que chacun aille vivre dans les pays qui correspondent à ses choix fondamentaux ou s'aligne sur ceux décidés par le pays dans lequel il se trouve, comme il sied à toute minorité. Surtout de moins de 15%.

    De toute façon, l'urgence des urgences et d'arrêter de verser des allocations familiales au-delà du deuxième enfant indispensable au renouvellement des générations. Nous n'avons aucun besoin d'avoir plus de 55 millions d'habitants pour 55 millions d'hectares. Et nous vivions d'ailleurs bien mieux quand nous n'étions que 55 millions. Voire 50.

    Quant à donner une prime politique au lapinage, c'est tout sauf une bonne idée, surtout là où les populations ayant le plus d'enfants se trouvent être aussi celles où les QI sont les plus bas.

    François Paganel
    21 01 15